LANCEMENT REALISTE DES  LEADERS VAILLANTS

          MOUVMAN TOUT BON LIDÈ VANYAN YO

 
Information sur les comites et des comitions nationaux de l'Organisation 

les commissions sont des commissions nationaux ayant leurs Beraux dans les dix Departements du pays travayant das des activites sociales et politique de la develeppement, jouent un role de compagnateur aux enfants demunis, aux personnes de la classe defavorises et aux Organisation de Bases Membres de LA RELEVE.

 

lareleve12@yahoo.fr
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 services pour tous ImageTous les services Image

ImageAccompagnement hors domicile PA et/ou PH Image

Accompagnement de personnes âgées ou handicapées en dehors de leur domicile

Pouvoir être accompagné dans ses déplacements, c’est conserver un lien avec les autres en toute sécurité.

Quand le corps n’a pas toute son autonomie, les déplacements sont plus difficiles et on a tendance à les limiter au strict minimum. Pour les personnes âgées comme pour les personnes handicapées, se déplacer hors de chez soi constitue pourtant une opportunité très précieuse de rencontre, de maintien du lien social et de distraction.https://encrypted-tbn0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcSTaYodpa1phPdA3xVQUiBICyomJ5NxWTm-copyxCzn9tR573BZHg

                                                

 

 

 

 

 

 

  


Développement durable

Haïti – Droits Humains : Les personnes âgées debout pour de meilleures conditions d’existence

« Les personnes âgées ont aussi des droits. Citoyennes et citoyens comme toute autre personne, elles demandent leur intégration dans la société », insiste Miguel Michel, un des représentants de l’association des personnes âgées de Tabarre (autre municipalité au nord-est de Port-au-Prince)

Les participants, dont de nombreuses femmes, ont profité de la marche pour dénoncer les abus, violences (physique et verbale), vols, dont les personnes âgées continuent d’être victimes en différents points du territoire national.

« Ce sont les piliers de la société. On ne doit pas les maltraiter », soutiennent les participants à la manifestation du 15 juin 2012, tenue sous les auspices de 110 associations de personnes âgées d’Haïti.

L’âge ne devrait pas servir comme un outil d’exclusion sociale. Au contraire, l’âge des personnes devrait être approprié pour devenir « un avantage, une opportunité (à partir des expériences vécues par les personnes âgées, estimées à environ 20% de la population dans le pays), une « grande ressource pour le pays ».

Les revendications des personnes âgées à la manifestation du 15 juin 2012 ont voulu interpeller les parents, les voisines et voisins, les autorités gouvernementales, sur la nécessité d’un changement dans les conditions d’existence des personnes âgées en Haïti, comme la sauvegarde de leurs droits, leur protection, la garantie de leur dignité d’êtres humains à part entière, leur sécurité intrinsèque.

 

 

Près de 70%

des seniors n’utilisent jamais ou que très exceptionnellement la voiture, même en tant que passager, pour des déplacements urbains en semaine. (Rapport mobilité CERTU 2001).

Les types de déplacements

Cette aide est utile en particulier pour l’accompagnement dans les transports en commun, le plus souvent bus ou train. Se renseigner sur des horaires, acheter un titre de transport, anticiper le trajet, choisir la bonne direction, descendre au bon arrêt, s’installer confortablement, parer aux imprévus : pour tous ces actes qui paraissent simples, la présence d’un tiers peut être très précieuse.

Le recours à des activités d’interprète en langue des signes, de technicien de l’écrit et de codeur en langage parlé complété dans l’environnement extérieur est compris dans cette activité.

La prestation n’est pas conditionnée au but du déplacement : il peut s’agir d’une simple promenade d’agrément, de rendre visite à un proche, ou d’actes de la vie quotidienne tels que des courses dans le quartier.

 

Les conditions

Si vous faites appel à une entreprise, une association ou un établissement public, l’organisme qui fournit la prestation d’accompagnement doit impérativement proposer d’autres services réalisés à domicile. Il peut s’agir par exemple :

  • de préparation de repas ;
  • d’aide à domicile ;
  • etc.

Pour proposer des services aux personnes âgées de 60 ans ou plus ou aux personnes handicapées, la législation requiert de l'organisme qu'il dispose de l’agrément.

Les avantages financiers

 

Réduction ou crédit d’impôt de 50 % des sommes dépensées

 

Réduction ou crédit d’impôt de 50 % des sommes dépensées à condition que l’organisme soit déclaré en plus de son agrément :

 

 

  • Si vous êtes imposable, vous bénéficiez d’une réduction d’impôt de 50% des sommes versées pour les services à la personne, dans la limite de 6 000€, soit une dépense réelle de 12 000€ par an maximum. Ce plafond peut être relevé en fonction de votre âge, de votre situation familiale, d'une situation de handicap ou du nombre d’enfants que vous avez à charge.

  • Si vous n’êtes pas imposable, vous pouvez bénéficier d’un crédit d’impôt de 50% des sommes versées en services à la personne, si vous êtes une personne active.

Crédit ou réduction d'impôt : facebook lareleve12@yahoo.fr?



Haïti /Rép. Dominicaine/Migration : Évitons le pire !


Les deux pays, la république d’Haïti et la République Dominicaine, forment une île, dont la ligne frontalière s’étend sur 360 kilomètres.

Au long de cette ligne frontalière, se situent 4 points officiels d’échanges commerciaux et de transit d’un pays à l’autre (Ouanaminthe/Dajabon, Malpasse/Jimani, Belladère/Comendador, Anse-à-Pitres/Pedernales) et beaucoup de points non officiels, tels Méac-Manzanillo, Ferrier-Sanchez, Capotille-Capotillo dans la zone Nord.

La frontière haïtiano-dominicaine constitue également une zone, où est enregistré un grand flux migratoire d’Haïtiennes et d’Haïtiens vers le pays voisin.

Seulement pour la frontière Nord, Solidarite Fwontalye/SJRM a constaté une augmentation considérable de ce flux au cours de l’année 2012 en comparaison avec 2011.

42,623 personnes ont déjà émigré vers le pays voisin sur la frontière Nord, de janvier 2012 à juillet 2012, contre 49,173 personnes vers la République Dominicaine en 2011, suivant les observations de l’institution jésuite.

Face à cette augmentation de la migration haïtienne, la République Dominicaine a récemment pris des mesures, les unes plus drastiques que les autres, pour arrêter ce flux migratoire.

Au cas où ces décisions formelles ne donneraient pas les résultats escomptés, ne faudrait-il pas craindre d’autres mesures informelles et radicales ?

La République Dominicaine est un pays souverain qui peut prendre les mesures qu’elle juge nécessaires pour protéger ses frontières, son peuple, son économie, etc.

Toutefois, en vertu des protocoles d’accord et des efforts déployés conjointement avec le gouvernement haïtien pour améliorer les rapports entre les deux peuples, certaines décisions - prises par les autorités du pays voisin - devraient faire l’objet d’un dialogue bilatéral et d’un consensus.

Que l’on veuille ou non, les deux pays sont interdépendants.

Prenons l’exemple des marchés transfrontaliers binationaux, où vont des milliers d’Haïtiennes et d’Haïtiens (surtout pour acheter) et auxquels participent les Dominicains pour écouler leurs produits. Haïti est le deuxième partenaire commercial de la République Dominicaine, après les États-Unis d’Amérique.

Au cours des six derniers mois (de 2012), la République Dominicaine a pris deux décisions remarquables.

La première, en date du 15 mars 2012, pour fixer le nombre de jours qu’une citoyenne haïtienne ou qu’un citoyen haïtien est autorisé à rester sur son territoire. Passé le délai de 30 jours à 3 mois, une amende de 800 pesos est exigée.

Si la visiteuse haïtienne ou le visiteur haïtien outrepasse ce délai pour une période de 3 mois à 6 mois, il sera pénalisé de 1,000 pesos d’amende.

Cette loi, déjà en vigueur, ne tient pas compte de la situation des étudiantes et étudiants haïtiens et d’autres catégories de visiteuses et visiteurs haïtiens.

Ce qui revient à dire qu’une étudiant / qu’un étudiant devrait voyager tous les mois. Sinon elle ou il sera passible d’amendes à payer, en fonction de la quantité de jours passés chez les voisins.

La deuxième décision consiste à exiger des demandeurs de visa dominicain, de nationalité haïtienne, de remplir un formulaire qui coûte deux cents dollars américains [Ndlr : US $ 1.00 = 43.00 gourdes ; 1 euro = 58.00 gourdes aujourd’hui] et de présenter au consulat dominicain un ensemble de pièces, qu’une Haïtienne ou qu’un Haïtien modeste serait en difficulté de trouver (compte bancaire, contrat de travail, etc.).

Que faut-il conclure de ces décisions ?

Notre premier constat est que notre voisin se sent envahi par la présence haïtienne. De plein droit, il veut réguler la migration haïtienne. En même temps, il cherche à tirer le maximum de profit de cette migration, car vous pouvez imaginer des sommes considérables que gagne la République Dominicaine avec ces deux nouvelles sources de recettes : l’émission des visas et les amendes.

Une deuxième considération : ces décisions, malheureusement, vont augmenter les voyages illégaux et clandestins.

Pour vérifier les informations sur les pièces requises par l’État dominicain, nous nous sommes récemment rendus au consulat dominicain à Ouanaminthe.

Nous avons été témoins d’une situation, où une dame - qui a l’habitude de voyager en terre voisine - a été surprise de s’informer de cette nouvelle modalité de demande de visa. N’ayant pas les pièces exigées, elle nous a confié qu’elle partira le lendemain avec l’aide d’un « passeur » (trafiquant illégal, haïtien ou dominicain, qui facilite le voyage clandestin vers la République Dominicaine).

Il est évident que les autorités dominicaines s’attendent à une augmentation des voyages illégaux, en raison de ces récentes mesures.

Les Haïtiennes et Haïtiens vont continuer à traverser la frontière avec l’aide de passeurs, opérant de connivence avec des militaires dominicains et bien d’autres personnes, qui tirent de grands profits de cette activité.

Les passeurs sont devenus, de jour en jour, plus agressifs et violents contre toutes celles et contre tous ceux qui les observent. En ce sens, l’un de nos promoteurs a été agressé le 19 juin 2012.

Les « passeurs » font aussi des victimes : le samedi 30 juin 2012, l’un d’entre eux, Salvador Helena, a tué Tonisa Aneli, après l’avoir violée, et a grièvement blessé la compagne de la victime, Nadège Harisson (Cf. Dajabonenlinea.com, le 5 juillet 2012).

Ces deux décisions, prises en moins de trois mois, n’ont pas encore donné les résultats escomptés, car les gens n’ayant pas les documents requis ont recours à un « passeur ».

Alors, la République Dominicaine pourrait se voir obligée de durcir les mesures migratoires, formelles et informelles, pour arrêter le flux migratoire haïtien.

En ce sens, deux faits justifient notre inquiétude.

À Dajabon, il y a beaucoup d’enfants haïtiens dans les rues. La migration dominicaine projetait de les remettre à l’État Haïtien. Ils ont beau attaquer le problème ; on a fini par remettre quelques-uns d’entre eux à Consejo nacional para la niñez y la adolescencia (Conani, entité de l’État Dominicain qui s’occupe des enfants) et ensuite à un orphelinat à Capotille.

Ce projet, dans l’ensemble, n’a pas réussi, car les enfants ont abandonné cet endroit.

Il y aurait une diminution du nombre d’enfants de rue haïtiens à Dajabon, selon un colonel de cuerpo especializado de seguridad fronteriza (Cesfront, corps de sécurité frontalier du coté dominicain), dont les déclarations ont été rapportées au cours d’une rencontre de synergie, le 21 juin 2012, entre un regroupement de certaines organisations non gouvernementales / Ong, des entités de l’État haïtien qui se réunissent le troisième jeudi de chaque mois, pour partager des informations et discuter ensemble sur la problématique de la frontière et du département du Nord-Est

Que s’est-il passé avec ces enfants ?

D’autre part, dans le lieu où Tonisa Aneli a été assassinée, un membre du réseau frontalier Jeannot Succès (Rfjs), a vu des ossements desséchés sur le même lieu. Ce qui nous fait croire que d’autres personnes ont été déjà assassinées et enterrées dans cette zone.

Les récentes décisions prises par la République Dominicaine en 3 mois, du 15 mars au 03 juin 2012, laissent présager que le pire est à craindre.

Loin de nous convertir en prophètes de malheur, nous lançons un urgent appel à la vigilance et à la concertation, des deux côtés de la frontière, pour éviter le pire.

Document et organigramme de differents conseils de LA RELEVE et les commissions de protection des enfants de l’arrondissement de Jacmel  (COPEAJ )et de la commission de Protection des enfants de l’arrondissement de Belle Anse (COPEAB ) .                                                                                        




 - Convaincus du fait que sans une r
évolte Sociaux- démocratique, il n’y aura pas de développement et d’amelioration sociale pour les jeunes et le pays ;

 - Conscients de ce que le multipartisme intégral est une nécessité historique, objective et incontournable à l’échelle planétaire en ce debut du 21ème Siècle.

 - Mus par la volonté de Participer efficacement et positivement à la construction d’un Etat de Droit, garant des libertés fondamentales et des droits de l’homme ;

 - Convaincus que l’Unité Nationale et l’Equilibre Intra et Inter-Régional sont intimement liés et doivent guider constamment toute action politique, économique, sociale et culturelle dans notre pays.

 - Vu les dispositions de la loi du 9 Juin 1985, portant Charte des Partis Politiques

 Ont décidé de se réunir en Congrès Constitutif de LA RELEVE, ce 21/05/2007 à Port-au-PrinceI et d’adopter les présents statuts.

 

LA RELEVE est fondée à Port-au-Prince, Fontamara 27, rue Thermo # 4 une Organisation Socaux-politiquele  21 Février 2007 à 4 heures PM, connue sous le nom du Lancement Réaliste des Leaders Vaillants

( LA RELÈVE). 

 

 L’acronyme de l’Organisation est (LA RELEVE), Lancement Realiste des Leaders Vaillants/ Lanzamiento Realista de los Lideres intrepidos.

 Son siège social est à Port-auPrince, il peut être transféré sur la  décision du Congrès en toute autre localité du territoire de la République d’Haiti L’emblème de l’Organisation est constitué d’un groupe de personnes qui sont aux nombres de 6 contenus d’homme et femme autour d’une flamme de couleur rouge au milieu est inscrit le nom de l’Organisation le tout dans un globe qui représente la terre.

 La devise de l’Organisation est «une révolte de conscience et de reforme socio-politique par le développement et de la réaménagement du territoire avec  toutes les couches pour une autre génération plus honnête et plus soucieuse» et La couleur de l’organisation est le rouge et blanc.

Blanc pour la sincérité et l’honnêteté et le rouge pour la vie et la gaité  

 

 LA RELEVE est une organisation de masse. A ce titre, il est ouvert à tout citoyen Haitien quels que soient sa région, son ethnie, son sexe, sa religion et sa profession.

 Le Lancement Realiste des Leaders Vaillants fixe pour mission principale d’aider les citoyens haitien en général, ses membres en particulier à participer effectivement, activement et positivement à la vie politique, économique, sociale et culturelle, à contribuer à l’édification d’une Nation Haitienne prospère.

 LA RELEVE se veut être :

- Un catalyseur des aspirations d’attente, des opinions individuelles diffuses et convergentes qu’il s’emploiera inlassablement à rassembler de façon à construire autour d’une doctrine d’ensemble, un idéal commun basé sur un programme cohérent et pragmatique qui tient grand compte de nos réalités nationales.

 - Un sélectionneur rigoureux et un encadreur permanent de l’élu.

 - Un formateur responsable et un informateur objectif

 

OBJECTIFS FONDAMENTAUX DE L’ORGANISATION

  Le Lancement Réaliste des Leaders Vaillants se fixe pour objectifs entre autres :

 - L’établissement d’une Politique Sociale réelle et intégrale dans notre pays.

 - La défense des droits de l’homme et des libertés sous toutes ses formes, le respect de l’être humain, de sa dignité, de son origine, de ses croyances et de sa culture.

 - La recherche de l’unité nationale, véritable gage d’un développement harmonieux fondé sur l’équilibre intra et inter-régional.

 - La participation courageuse à la conquête légale et à l’exercice effectif du pouvoir politique dans le cadre du Renouveau Social.

 - L’amour du prochain, de la patrie, la défense de l’intégrité territoriale et de la souveraineté nationale. 

- Le combat pour le développement Social-économique et culturel. 

- La lutte contre le régionalisme, le racisme et la xénophobie.

 - la lutte contre la violence et toutes.

 

Membre et admission

 

- LA RELEVE à 4 catégories de membres :

 

1)   Les membres fondateurs,

2)   Les membres d’honneurs,

3)   Les membres adhérents,

4)   Les OB (Organisations de base)

 

  Les membres de LA RELEVE doit :

 - se conformer scrupuleusement à la ligne et aux idéaux de l’organisation

- de réspecter les decisions et les personnages hierachiques

- assumer consciencieusement son rôle au sein de l’organisation et accomplir avec diligence et célérité les tâches permanentes ou ponctuelles qui lui sont confiées

- s’acquitter régulièrement de ses cotisations

- assister aux réunions et participer activement à toutes les activités de l’organisation,

- accepter la discipline de groupe et combattre résolument tout esprit messianique et sectariste au sein de l’organisation ;

- lutter contre le culte de la personnalité ;

- combattre énergiquement toute manifestation de régionalisme, de tribalisme, de népotisme et de corruption

- avoir une pratique sociale et professionnelle exemplaire ;

- développer en soi et autour de soi la critique et l’autocritique objectives

- s’engager à dénoncer les insuffisances dans le travail sans considération de personne ;

- s’intégrer aux masses laborieuses et se convaincre constamment de la nécessité de resserrer la liaison avec le peuple, seul acteur et artisan de l’histoire

- s’appliquer où que l’on de trouve et quel et quel que soit son rang social à observer ou faire observer le principe de l’équilibre intra et inter-régional

- enfin accepter la différence avec les autres membres de l’organisation et les autres partis, et observer les règles de la loyauté, de la solidarité et de l’amitié.

Organigramme des commissions de la protection des Enfants et deLARELEVE

 

 

COPEH   [coordination de la protection des enfants d’Haiti]

               Grand’Anse /Jermie                                                                                                                                                 COPEGA [commission de la protection des enfants de Grand’Anse]

                SUD                                                     

COPES   [Commission de la protection des enfants du sud]                                                                                                                    

                SUD’EST

COPESE   [commission de la protection des enfants du sud’est]

                OUEST

COPEO   [commission de la protection des enfants de l’ouest]

                ARTIBONITE

COPEA   [commission de la protection des enfants de l’Artibonite]

                NORD’OUEST

COPENO  [commission de la protection des enfants du nord’ouest]

                NORD’EST

COPENE  [commission de la protection des enfants du nord’dest]

                NORD

COPEN   [commission de la protection des enfants du nord]

                NIPPES

COPENIP [commission de la protection des enfants de nippes]

 

         Les differentes structures des commissions des enfants, les coordonnateurs nationaux et les coordonnateurs de l’arrondissement de Jacmel et de Belle Anse .

               1) Coordination de la protection des enfants d’Haiti ( COPEH )

     Coordonnateur generale : Zidor corvington

Telephone :

 

   Coordonnatrice nationale :Etienne Marie Nadil

Telephone :

 

                                  << Arrondissement de Jacmel>>

 

2)Commission de la protection des enfants de l’arrondissement de Jacmel ( COPEAJ )

 

Coordonnatrice                  :Sylva Marie Edith

Telephone                           :

 

 

3)Commission de la protection des enfants de la commune de Jacmel (COPEJ )

 

Coordonnatrice                   :  Maitre Hyclide

Telephone                          

 

4)Commission de la protection des enfants de la commune de Cayes Jacmel ( COPEC )

 

Coordonnatrice                  :Antoine Yolene

Telephone                         

5)Commission de la protection de la commune de Marigot ( COPEM )

 

Coordonnatrice                 :Confident Meliane

Telephone                          :

 

6)Commission de la protection des enfants de la commune de la Vallee de Jacmel (COPEV )

 

Coordonnatrice                :Gedeon Marie Ginette

Telephone                       

 

 

                            << Arrondissement de Belle Anse>>

 

           1)  Commission de la Protection des enfants de l’arrondissement de Belle Anse ( COPEAB )

 

                Coordonnatrice             : Odeus Gracilia

                Telephone                     :

 

          2) Commission de la protection des enfants de la Commune d’Anse a Pitre et Pedernales

                                                  (COPEAP

              Coordonnatrice      : Eneroliza Cruz Perez

              Telephone              

 

           3)Commission de la protection des enfants de la commune de Thiotte ( COPET )

              Coordonnatrice      :Cadet Myrianne

              Telephone              

 

           4)Commission de la protection des enfants de la commune de Grand Gosier (COPEG )

               Coordonnatrice      : Louis Marimaude

                Telephone             

 

           5)Commission de la protection des enfants de la commune de Belle Anse ( COPEB )

 

               Coordonnatrice     : Emmanuel Adѐmѐne

               Telephone             

A)  CONSEIL DE L’ARRONDISSEMENT DE JACMEL POUR LA RELEVE

 

Noms/Prenoms                            Fonction                                     Telephone

 

1)Laurent Edzer                           Coordonnateur                        

   Coord.de LA RELEVE arrond.de Jacmel

 

2)Jean Arlain                                Secretaire                                   

    Pierre Louis Wikenson           Secretaire                                  

Coord.de LA RELEVE commune de la VALLEE DE Jacmel

 

3)Jean Erntso                               Secretaire                             

Coord. De LA RELEVE Commune de Jacmel

4)Médé Ilnéra                              Resp.de communication/inf.

    Maitre Fritzner                          Idem                                         

Coord. De LA RELEVE Commune de cayes Jacmel

 

5)Sylva Marie Edith                    Resp.de finance                       

Coord. De COPEAJ

 

6)Alix Norbert                              Conseiller

 

7) Charles Marie Clodette         Déléguée                                

 

 

 

B)   CONSEIL DE LA COMMISSION DE LA PROTECTION DES ENFANTS DE L’ARRONDISSEMENT DE JACMEL ( COPEAJ )

 

 

Noms/Prenoms                        Fonction                                        Telephone

 

1)Sylva Marie Ediht                Coordonnatrice                           

 

2)Maitre Hyclide                     Secretaire générale             

 

3)Antoine Yolene                   Déléguée                                       

 

)Confident Méliane             secretaire adjointe                      

 

5)Gédéon Mrie Ginette         Conseillѐre                                     

 

 

 

 

 

 

 

 

Les differents coordonnateurs (trices ) de l’0rganisation de LA RELEVE ( Lancement Realiste des Leaders vaillants ) sur l’arrondissement de Jacmel et de Belle anse .

 

                                             <<  Arrondissement de jacmel >>

 

 

1)      Coordonnateur de LA RELEVE  pour l’arrondissement de Jacmel            : Laurent Edzer  

 

Coordonnateur de LA RELEVE pour la commune de Jacmel                     : Jean Erntso        

 

2)      Coordonnateur de LA RELEVE pour la commune de Cayes Jacmel          :Maitre Fritzner 

 

Coordonnatrice de LA RELEVE pour la commune  de Marigot                  :Charles Clodette

 

3)      de LA RELEVE pour la commune de la Vallee de Jacmel :Jean Arlain :       

 

                                                                                                              :Pierre Louis Wikenson :                               

                                                                                                                                           Coord. Adjoint :

 

 

                             <<Arrondissement de Belle Anse >>

   

1)      Coordonnatrice de LA RELEVE pour l’arrondissement de Belle Anse  :

 

2)       Louis Dieussica     :

 

3)      Coordonnateur generale de la RELEVE pour la commune de Thiotte     :

  

4)      Coordonnatrice adjointe  de LA RELEVE pour la commune de Thiotte : Exume Felix Ananie   :

 

 

5)      Coordonnateur de LA RELEVE pour la commune de Grand Gosier      :Louis Jean Daniel    : 

6)      Coordonnateur de LA RELEVE pour la commune d’Anse a Pitre          :

Bon Rodrigue 

 

 

        6) Coordonnateurs de LA RELEVE pour la commune de Belle Anse          :    

            Noel Olionor                :   Coordonnateur general     :

            Saint Louis Yollande   : Coordonnatrice adjointe    :

 

  

          

 

LA RELEVE COMITE EXECUTIF

JACMEL

 

                     C)   CONSEIL COMMUNAL DE JACMEL

 

 

Noms/Prenoms         

                                                                  Fonction                           Telephone

1)  JEAN ERNTSO                                coordonnateur                  

 

2)PRINTEMPS EMMANUEL             secretaire adjoint 

                

3)COMPET EDNORD                         secretaire generale             

 

4)CHERY DANISE                             responsable de finance       

 

5)FAUSTIN JEAN RONY                   conseiller 

                          

6)JEAN BAPTISTE THOMAS            delegue

 

7)JEUDY ABELLARD                        delegue          

       

8)LAMBERT EPSON                          responsable de communication  information

 

9)LAMBERT FRANCIN                     conseiller    :

 

 

 

                          COMMITE EXECUTIF JACMEL

                         

Ca)CONSEIL COMMUNAL DE LA COMMISSION DE LA PROTECTION DES ENFANTS DE JACMEL (COPEJ)

 

MAITRE HYCLIDE                                          coordonnatrice          

 

2)CHARLES SANTA                                         secretaire  adjointe

 

3)LOUIS NERLANDE                                      secretaire generale    

  

4)DUCLOS Mrie ROODNY FRANCESCA                  resp de communication information

 

5)DUFFAULT MACETTE                                 deleguee

 

6)LEFEVRE LUCNER                                      conseiller

 

7)JACQUET JACQUES                                     delegue

 

 

 

LA RELEVE COMMITE EXECUTIF

CAYES  JACMEL

D)   CONSEIL COMMUNAL DE CAYES JACMEL

 

 Noms/Prenoms                                              Fonction                      Telephone

                                    

 

0)       Médé    Ilnéra                                   Coordonnateur général          

 

1)      MAITRE FRITZNER                        coordonnateur adjoint

 

 

2)      LAGUERRE JEAN RONY                delegue

 

3)         FRITZNER                                      delegue                                  

 

 

       4)PIERRE TONY                                                                                

 

 

COMITE EXECUTIFCAYES JACMEL

 

Da)CONSEIL COMMUNAL DE LA COMMISSION DE LA PROTECTION DES ENFANTS DES CAYES JACMEL (COPEC)

 

Noms/Prenoms                                           Fonction                                            Telephone

1)Antoine Yolѐne                                     coordonnatrice

 

2)Touteau Cletie                                      Secretaire générale

 

3)Eloie Edlonde                                       Secretaire adjointe

 

4)Jérémie Fabiola                                     Conseillѐre

 

5)Clermond Givelaure                              Délégué

 

6)Antoine Nadia                                        Délégué  

                                                                     

7)Antoine Ronald                                      Responsable de communication

 

 

        E)   COMITE EXECUTIF/ MARIGOT DE JACMEL/  LA RELEVE

         

          Noms/ Prenoms                          Fonction                                     Telephone

 

1)      Charles Marie Clodette         Coordonnatrice

2)                  

      3)

      4)

      5)

      6)

      7)

     

      9)

 

 

Ea)CONSEIL COMMUNAL DE LA COMMISSION DE LA PROTECTION DES ENFANTS DE MARIGOT ( COPEM )

 

Noms / Prenoms                               Fonction                                             Telephone

 

1)Confident Meliane                     Coordonnatrice 

                  

2)Hyppolite Yves castro               Secretaire général

 

3)Toussaint Edeline                      Secretaire adjointe

 

4)Confident André Paul              Resp.communication/information

 

5)Lamour Jean Rony                   Conseiller

 

6)Hyppolite Angelore                  Délégué

 

7)Confident Guerline                  Délégué

 

 

LA RELEVE COMITE EXECUTIF

F)    CONSEIL COMMUNAL DE LA VALLEE DE JACMEL

 

         Noms/Prenoms                                             Fonction                      Telephone                        

1)      JEAN ARLAIN                                     coord.général

2)       

3)      PIERRE LOUIS WIKERSON             coord.adjoint

      3)AMBROISE JOHNY                              secrétaire.général

 

      4) JEAN ROSELAURE                              conseillѐre

 

      5)PIERRE SAINT HAROLD                    délégué

 

      6)FREDERIQUE FEDY                            responsable de finance

      7)

      8)

      9)

 

Fa) COMMISSION DE LA PROTECTION DES ENFANTS DE LA VALLEE DE JACMEL

                                                       (   COPEV   )

 

Noms/Prenoms                                         Fonction                                  Telephone             

 

1)      Gédéon Marie Ginette           Coordonnatrice

2)       

 

     3)

     4)

     5)

     6)

     7)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

G)Comite exécutif de La RELEVE pour l’arrondissement de Belle Anse.

 

Noms/Prenoms                Fonction                                Telephone

 

1)Louis Dieussica          Coordonnatrice                      Coord.Arrond. de Belle Anse

 

2)Odéus Gracilia           Secrétaire      

Coord. COPEAB

 

3)Bon Rodrigue             Resp.de Finance                      

Coord.de la commune d’Anse ẚ Pitre

 

4)Louis jean Daniel      Délégué                                     

Coord.de la commune de Grand gosier

 

5)Jean Edouard           Conseiller                            

   Félix Exumé Ananie Conseillѐre  

Coord.de la commune de Thiotte     

 

6)Noel Olionor             Resp.de communication/information

   Stlouis Yollande        Resp.de communication/Information

Coordonnateurs de la commune de Belle Anse .

 

7)

 

Ga)CONSEIL DE LA COMMISSION DE LA PROTECTION DES ENFANTS POUR L’ARRONDISSEMENT DE BELLE ANSE   

                                     (   COPEAB    )

 

Noms/Prenoms                 Fonction                      Telephone

 

1)Odeus Gracilia             Coordonnatrice                  

 

2)Louis Marimaude        Secretaire générale      

 

3)Cadet Mirianne           Secretaire adjointe       

 

4)Emmanuel Ademene   Déléguée                      

 

5)Pierre Enolice              Conseillѐre                    

 

                                                                                                                                  

AA)Conseil communal d’Anse ẚ Pitre pour LA RELEVE

 

Noms/Prenoms                 Fonction                            Telephone

 

1) Bon Rodrigue             : coordonnateur               :

 

 2)FortilusMrie Viviane  :secretaire generale         :

 

3)Desilmé Willio             : secretaire adjoint           :

 

 4)Dinat Paul Karm        :Resp.de finance               :

 

 5)Frantz Moreau            :Resp.de communication :

 

 6)Bonicet Johny              élégué                            :

 

 7)Bazile Jn Moliere        : Délégué 

 

 8)Permission Benjamin  :Conseiller                        :

 

9)Francois Yglѐne           :Conseillѐre                      :

 

 

AAa)Commission de la Protection des Enfants d’Anse ẚ Pitre et de Pédernales.(COPEAP )

 

1)   Pierre Enolice               : coordonnatrice          :

 

2)   Charles  Litanie           : Secretaire generale     :

 

 

 

3)   Silver Permission         : Secretaire adjoint       :

 

4)   Jean Raphaёl               :Resp.de communicat./

 

                                        Et informations            :

    5)Santana Ronald             :1er délégué/supervi

 

                                                 Seur general des clubs :

 

    6)Dorcé Salnave                :2eme délégué                :

 

    7)Doxy Edmond                : Conseiller                    

 

 

N.B.- Toussaint Frito : Superviseur général de sport pour la commune d’Anse ẚ Pitre(COPEAP)            

 

 

BB)Conseil communal de Thiotte pour LA RELEVE.

 

a)Jean Edouard       : coordonnateur  

         

a)Félix exumé Ananie :Coordon.adjointe       :

 

b)Chéry vénite         : Secretaire generale      

 

c)Charles Robenson: Secretaire adjoint        

 

d)Jean Jobner          : Conseiller                  

 

e)Sauveur Boucard  : Resp.de finance            :

f)

g)

h)

 

BBa)Commission de la Protection des Enfants de Thiotte ( COPET )

 

A)Cadet Myriam     :Coordonnatrice                :

 

B)Sambourg Tanil  : Secretaire generale          :

 

C)Jean Ogard          :Secretaire adjoint             :

 

D)Dulert sanon        :Resp.de communication   :

 

E)Constant Phenil  : Délégué/Superviseur des

                                   Clubs des enfants              :

 

F)Blanc Lamane     : Délégué

 

G)Claudel                : Conseillѐre                        :

 

 

 

CC)Conseil de la Commune de Grand Gosier pour LA RELEVE

 

A) Louis Jean Daniel  : Coordonnateur      : 

     B)

     C)

     D)

     E)

     F)

     G)

     H)

     I)

 

 

   CCa) Commission de la Protection des Enfants de Grand Gosier

                                         (COPEG )

 

A)  Louis Marimaude    : Coordonnatrice    : 

B)

C)

D)

E)

F)

G)

 

  DD)    Conseil communal  de Belle Anse pour LA RELEVE.

 

A) Noel Olionor              : Coordonnateur

       

B) Stlouis yollande         : Coordonat.adjointe :

 

C)  

     C)

     D)

     E)

     F)

     G)Sylvain   Messagesse : Conseiller                 

     H)

     I)

 

   DDa)   Commission de la Protection des Enfants de Belle Anse                        

                                         (  COPEB  )

A) Emmanuel Adémѐne           : Coordonnatrice       :

B)  

     C)

     D)

     E)

      F)            

      G)

 

 

 

 

N.B1.- Coordonnatrice des coordonnateurs et coordonnatrices de LA RELEVE pour l’arrondissement de Belle Anse  : Louis Dieussica             :

 

N.B2.-Coordonnatrice des coordonnateurs et coordonnatrices de la commission des enfants de l’arrondissement de Belle Anse   

                                   ( COPEAB )     

 Odeus Gracilia  :

 

 

 

N.B3.- Coordonnateurs des coordonnateurs et coordonnatrices de LA RELEVE pour l’arrondissement de Jacmel.

 

Laurent Edzer       :

 

N.B4.- Coordonnatrice des coordonnatrices de la commission des enfants de l’arrondissement de Jacmel ( COPEAJ ).

 

Sylva Marie Edith  :

 

N.B5.-Coordonnatrice nationale et coordonnateur national adjoint de la coordination de la protection des enfants d’Haiti . ( COPEH )

 

 

1)   Etienne Marie Nadil

 

2)   Fontes Cony               

 

N.B6.- Coordonnateurs des coordonnateurs et coordonnatrices de LA RELEVE pour le département du Sud’EST.

Zidor Corvington              

 

N.B7.-Coordonnateurs des coordonnateurs et coordonnatrices des départements de la coordination de la Protection des enfants d’Haiti ( COPEH ).

 

Zidor Corvington              

 

N.B8.-Coordonnateur des coordonnateurs et coordonnatrices de LA RELEVE pour le pays d’Haiti .

 

Marc –Arthur Josmar    

 

Les noms retenus pour le comité exécutif central de la coordination de la protection des enfants d’Haiti . (COPEH )

 

1)Zidor Corvington        coord.gnl        dept.Sud’Est                  zidorcorvington@yahoo.fr

2)Etienne Marie Nadil  

 

Coord.nationale dept.Grand’Anse

 etienad@yahoo.fr

 

3)Fontes Cony                Coord.nat.adjoint dept Nord

 fontescony@yahoo.fr

 

4)Jean Lafontaine          secretaire generale dept l’ouest

 

5)Joseph Gerline          secretaire adjointe  deptsud/est/cotes de Fer, josephgerline@yahoo.fr

 

6)Valescot Nickson       resp.finance national dept/sud/Est ville de jacmel   ,             valesnick2000@yahoo.fr

 

7)Valbrun Guerly         Resp.finance nat.adjointe  dept/Nord Est   ,              guerly77@yahoo.fr

 

8)Volmyr H.Liliane       Conseillѐre nationale dept.Nord

                                          volmyrliliane@yahoo.fr

 

9)Joseph Edvard           délégué national 

                                           Edvardjoseph_@yahoo.fr                                                                

 

 

Les noms des moniteurs et monitrices des clubs des enfants de la commune d’Anse ẚ Pitres .

 

Commune d’Anse A Pitres

 

Noms/prenoms                 Fonction                        Zone        Telephone

 

1)Santana Lorѐne         Monitrice/Education   Ville Anse A Pitre

 

2)Ruiz Makendia          Monitrice/Education     Idem       

 

3)Dérisier Vitalerme    Moniteur/Sports          Ville Anse A Pitre   

 

  4)Romain Louisena      Monitrice/Sports          Idem        

 

5)Francois Yglѐne        Monitrice/Education   Banane      

 

6)Jeudy Florise             Monitrice/Education   Banane

 

7)Rémy Lamy               Moniteur/Sports          Banane    

 

8)Pierre Louis Klarens                                                           

 

9)Bonicet Johny            Moniteur/Education   Bouc.Guill.

10)Jean Pierre Rosemanite Monitrice/Educat.Bouc.Guill.

 

11)Lafontant Camy             Moniteur/Sports  Bouc.Guill. 

 

12)Jn Pierre Anastassia    Monitrice/Sports  Bouc.Guill.    

 

13)Louis jeune robert     Moniteurs/Educat.H.Bois Orme

 

14)Francois Bertina        Monitrice/Educat.H.Bois Orme 

 

15)Lauture Roosevelt     Moniteur/Sports .H.Bois Orme  

 

16)Gabriel Chrislѐne      Monitrice/SportsH.Bois Orme   

 

17)Permission Silver      Moniteur/Educat.B.Bois Orme   

 

18)                                    Monitrice/Educat.B.Bois Orme

 

19)                                    Moniteur/Sports Bas.Bois Orme 

 

20)                                    Monitrice/Sports   Idem                                              

                                       

 Les noms des moniteurs et monitrices des clubs des enfants de la commune   de Thiotte .

 

Commune de Thiotte

 

Noms/prenoms                 Fonction                    Zone        Telephone

 

1)Striplet Frantz                     Moniteur/Education        Bleck         

 

2)Sambourg Tany                  Monitrice/Education       Bleck         

 

3)Mardy Anilson                   Moniteur/Sports               Bleck        

 

4)Blanc Monique                   Monitrice/Sports              Bleck       

5)Lombo Ligѐne                    Moniteur/Education     Marmirande 

 

6)Cadet Mirianne                  Monitrice/Education     Marmirande

 

7)Pierre Jn Marc                   Moniteur/Sports             Idem           

 

8)                                          Monitrice/Sports            Idem  

 

 

 

                             Les CLUBS des Enfants de la commune d’Anse a Pitre

 

 

 

                                     CLUB DES  ENFANTS de la section de HAUT BOIS D’ORME 

 

ADRESSE:MARE ROUGE  ,     CENTRE   POLIVALENT

 

 

MONITEURS                                         TELEPHONE                         NIVEAUX  D’ETUDES

LOUIS-JEUNE ROBERT                                                                         RHETO

FRANCOIS  BERTINA                                                                           RHETO

LAUTURE ROOSEVELT                                                                        PHILO

 

 

NOM DES Enfants                                                              Age                                        Sexe

                                                                                               

1)LOUIS- JEUNE ROTTERDAM                                       9 ANS                                    M.

2)SAMBOUR DUVALSON                                                9 ANS                                    M.

3)SUVERAIN  MENDELSON                                            7 ANS                                    M.

4)BAZILE CLIFF                                                                 9 ANS                                    M.

5)DOMINIQUE NICKENS                                                 9 ANS                                    M.

6)PIERRE LOUIS CLERVENS                                           10 ANS                                  M.

7)SUVERAIN REBECCA                                                   6 ANS                                    F.

8)ANTOINE KENLOVE                                                      9 ANS                                    F.

9)ANTOINE CHRISTELA                                                   10 ANS                                  F.

10)JEAN PIERRE  DUNIA                                                  7 ANS                                    F.

11)JOACHIM  JUDELINE                                                   7 ANS                                    F.

12)JEAN  CLARDIA                                                            6 ANS                                    

13)FLEURANTIN PETERSON                                           13 ANS                                  F.

14)Bazil Jean Watson                                                                  14 ans                                    M.

15)ANDRIS Luker                                                                       12 ans                                   M

16)Monplaisir Rubens                                                                  12 ans                                   M.

17)Avena Klervenson                                                                    8 ans                                    M.

18)Bazil Nadersin                                                                          8 ans                                    M.

19)Jean Walner                                                                              5 ans                                    M.

20)Solange Santhia                                                                        7 ans

21)Ozaire Mrie Monique                                                               6 ans                                      F.

22)Badio Josia                                                                               11 ans                                    F.

23)Jean Fladia                                                                                8 ans

24)Lubin Vena                                                                               10 ans                                    F.

25)Jean Venise                                                                               7 ans                                      F.

26)Fleurantin Savaneta                                                                   8 ans                                     F.

27)Francois Magdaline                                                                  9 ans                                      F.

28) Jean Baptiste Micheline                                                           9 ans                                      F.

                                               Commune d’Anse a Pitre

 

                                     Clubs des enfants de la section de haut Bois d’Orme

 

Noms/prenoms                                              Age                                             Sexe

 

29)Desir Violine                                           10 ans                                          F.

30)Serone Erling                                           7 ans                                            F.

31)Louis Snaisson                                         7 ans                                            F.

32)Jean Baptiste Rutchela                              7 ans                                           F.

33)Syverain Baby                                           6 ans                                           M.

34)Jn Jules Johnson                                        6 ans                                           M.

35)Azor Kethima                                            7 ans                                           F.

36)Jean Fegens                                               6 ans                                           M.

37)Innocent Emmanuel                                  9 ans                                           M.

38)Wilcinot Guy Lorvens                               10 ans                                         M.

39)Camille Micana                                          10 ans                                        F.

40)Gabriel Sofia                                             11 ans                                         F.

41)Gabriel Micama                                         10 ans                                        F.

42)Jean Pierre Calvin                                      10 ans                                        M.

43)Jn Baptiste Staifine                                    8 ans                                           F.

44)Permission Romere                                    10 ans                                         M.

45)Wilcinot Venante                                        10 ans                                       F.

46)Wilcinot Makenson                                      11 ans                                      M.

47)Jean Patrick                                                  8 ans                                        M.

48)Gentille Elda                                                11 ans                                      F.

49)Jeudy Wilda                                                  6 ans                                        F.

50)Wilcinot Kethia                                             11 ans                                      F.

51)Jeudy Fedner                                                  10 ans                                      M.

52)Fleurant Lubin                                                11 ans                                      M.

53)Jameson Fleurantin                                          8 ans                                       M

54)Jean Mickenson                                                11 ans                                     M.

55)Jasmin Ramino                                                 11 ans                                     M.

56)Gabriel Remy                                                   11 ans                                     M.

57) Ginette Kanis                                                   7 ans                                       F.

58)St Louis Didine                                                 9 ans                                       F.

59)Jean Baptiste Richela                                        6 ans                                       F.                                                                                                      

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                        Commune d’Anse a Pitre

                            Clubs des enfants de la section de Bas Bois d’Orme

 

 

NOM DES ENFANTS               AGE                             SEXE

DOCCY  ASCHELEY               11 ans                           F

DOCCY  CAROLINE               10 ans                           F

FRANCOIS  WICHENADA     10 ans                           F

JEAN  FRANCIA                      10 ans                           F

JEAN FELENCIA                     9ans                              F

JOSEPH  MAKENCIA             10 ans                           F

LOUIS  ANDRINE                    10 ans                           F

LAZARE WISELENE              12 ans                           F

AVENA CARLINE                   5 ans                             F

JEAN MICHELINE                  6 ans                             F

CHERLINE JEAN                    9 ans                             F

JEAN CHERLANDE                9 ans                             F

GERMAIN MARIE EDWIGE 10 ans                           F

DEMOSTENE NERLEY          8 ans                             F

TAMARE LOUCIANA             9 ans                             F

LOUIS OLDINE                        10 ans                           F

JEAN MIDELINE                     12 ans                           F

PIERRE ANNA                         11 ans                           F

RICCNOT DENIA                    11ans                            F

REGALAS  PATRICIA            8 ans                             F

WILLINOT  EVENCIA            11ans                            F

PERMISSION  INGHT-DINCE                                     6 ans       F

WILLINOT  ANGELITA         12 ans                           F

TOUSSAINT   IDALISE           12 ans                           F

JEAN  PIERRE VILANDIE     11 ans                           F

JEAN FRANCOIS CLARENCIA                                  10 ans     F

 

 

 

 

 

                                                    CLUB DES ENFANTS DE BANANE

 

 

MONITEURSTRICES                    TELEPHONE            DATE DE NAISSANCE                              NIVEAU D’ETUDE

PIERRE-LOUIS KLARENS             4605-41-15                    21688                                                            RETHO

 

FRANCOIS YGLEINE                    3775-39-61                  121186                                                                    NOEUVIEME

 

 

NOM DES ENFANTS                    AGE                                        SEXE

ANESCA CHRISTUDE                                                     6ANS                                                                      F

ANAROSE  FRANCOIS                                                   8ANS

CLANILIA  ETIENNE                                                       9ANS

CHRISTAMENE JEAN                                                     14ANS

BISTARIA PIERRE                                                                        13ANS

MAY DAPHCA ROUSSEAU                                           11ANS

DIADIMA DEVALON                                                                     8ANS

DIALINE JEAN                                                              14ANS

DARLENE JOSEPH                                                       9ANS

DIEUBON JEAN                                                            10ANS                                                                        G

DELINX JN PIERRE                                                      15ANS                                                                        G

DROUILLARD MONICA                                              12 ANS

CLIFORDE DESERT                                                      11ANS                                                                           G

ARLANDE FRANCOIS                                                 13 ANS                                                                          G

CATIANA ALEXANDRE                                              7ANS                                                                             F

EMMANUELA CLERVEAU                                         7ANS                                                                             F

CLIFNY PAULO PIERRE    9ANS     

 

 

 

 

 

 

 

                            Les differents axes d’interventions

 

Montage des clubs des enfants et de jeunes  dans les differentes communes au niveau du departement du sud ‘est .

 

1)    Choix des Enfants    : de tranche d’age de 5ans – 12 ans

2)    Choix des Jeunes      : de tranche d’age de 13 ans – 25 ans

 

 

_A court terme

Choisir les moniteurs

1)    Education                 : au moins 12 moniteurs(trices ) par commune

2)    Sports                       : au moins 12 moniteurs (trices ) par commune

 

 

 

Education        :travailler tous les samedis de 8 heures AM pour 1 heure PM                          

                          Rechercher des talents et decouvrir les lacunes chez les 

                          Enfants et les jeunes .

                           Faire des echanges entre les enfants et les jeunes

                           -Education

                         -Regarder et evaluer le systeme educatif haitien

                         -Expansion/ faire des propositions

                        -Sports   

                        -Cultures

                        -Le tourisme

                        -le commerce

                        -Developper la production locale dans les differents domaines 

                        -Construction de centre d’accueil ou de centre d’hebergement

                        -Cours de langues et informatiques

                        -Construire des ecoles primaires et professionnelles de qualite dans chaque section communale au niveau du departement du Sud’Est .

 

Construire et equiper des centres et des ecoles de football dans chaque commune au niveau du departement du sud ‘Est .

 

 

Sports

-Football

-Volleyball

-Tennis

-Basketball

-Tae kwon do

Etc

 

 

Danses et musiques

 

Artisanats

 

 

B)Pour les enfants et les jeunes

 Couverture et support de l’organisation de LA RELEVE ẚ l’école primaire Mixte Union de Bleck ( Commune de Thiotte )

 

Couverture et support de LA RELEVE au regroupement des jeunes progressistes de Bois d’Orme ( REJPROB ) en ecole informatique. ( Commune d’Anse a pitre ).

 

Couverture et support de LA RELEVE au college secondaire Jean Jacques Rousseau ( Commune d’Anse a Pitre )

 

N.B.- Couverture et support de LA RELEVE ẚ ( oganizasyon fanm aktiv Ansapit)                        (( OFAA ))

Avec comme coordonnatrice : Pierre Enolice :

 

-Differentes formations theoriques et pratiques adaptees a la realite du pays .

-Formations professionnelles

-Rechercher de parrainage pour payer les frais scolaires pour les enfants, les jeunes.

Rechercher de bourses d’etudes pour les jeunes en Haiti e a l’etranger .

 

Rechercher de fonds pour aider les jeunes a monter des petits bisiness ou de moyennes entreprises .

Montage des associations professionnelles a travers les differentes disciplines .

Montage des moyennes entreprises ou les aider a creer ou a rechercher du travail .

 

 

 

Les idées de projet pour le Lancement Realiste des Leaders Vaillants ( LA RELEVE ) et la coordination de la protection des Enfants d’Haiti (COPEH ) via la Commission de la protection des enfants du sud ‘Est ( COPES ) et via la commssion de la Protection des enfants de l’arrondissement de jacmel ( COPEAJ ) et la commission de la Protection des enfants de l’arrondissement de Belle Anse ( COPEAB ).


Les besoins primaires pour les differents clubs des enfants .

 

1) Education

2) Santé

3) Alimentation

 

1)    Education ( Intellectuels )

-Formation des moniteurs (trices )

A court terme :12 en education par commune/departement du Sud’est.(Jacmel )

-Compenser ou payer les moniteurs et les monitrices

-Choisir et payer les  superviseurs par commune /departement du sud’est (Jacmel ).

 

-Materiels( education )

Livres, cahiers, plumes , craies ,brosses, feuilletons pour les enfants, jeux de l’esprit .

Autres materiels didactiques

Laptos, computers, television,  retroprojecteurs, flip chap , etc .

 

-Education avec les enfants et les jeunes .

a) Parrainage ( paiement des frais scolaires ou de professions manuelles  ) pour l’arrondissement de Jacmel et de Belle Anse .Annee 2012-2013

Accessoires ( uniformes , livres ,cahiers , nourritures , etc )

 

b) Santé

Ouverture de la clinique ( Sove Lavi Ansapit ) ,commune d’Anse ẚ Pitre .

Promotion pour la santé des enfants

Promotion pour la clinique sove lavi ansapit

Faire des cliniques mobiles pour donner des soins aux enfants.

Recruter des cadres en médecine(médecins, infirmiѐres, auxiliaires) pour donner des soins aux enfants )

Construire et equiper des centres hospitaliers sur le nom de l’organisation de LA RELEVE .

Ouvrir et approvisionner des pharmacies pour permettre aux parents des enfants d’acheter des médicaments a un prix dérisoire  sur tout le pays .( Pharmacie sove lavi de l’organisation de LA RELEVE ).

 

c) Alimentation

Faire la promotion pour la production nationale dans l’alimention des enfants .

Favoriser aux parents des enfants de prendre des formations en agriculture pour faire de jardins de la cour .

Chercher des semences et des intrants agricole pour permettre aux parents de faire des jardins de la cour.

Permettre aux enfants de prendre de formation pour faire des jardins .

Chercher des moyens pour trouver des plats chauds pour les enfants qui sont plus vulnérables.

Chercher des moyens pour donner de plats chauds pendant le fonctionnement des clubs des enfants tous les samedis .

Montage des banques de semences et intrants agricoles pour permettre aux parents de les trouver ẚ un petit prix .

Trouver des moyens pour nourrir les enfants qui sont lẚ pour le sport .

Ouverture d’un centre lombricompostage pour la production de fumiers organiques ( Commune de grand Gosier ).

 

 

 

 

 

Pour les jeunes

a)    Education

Ouverture des clubs pour les jeunes avec de cours de langues, informatiques, montage de biblioteque et de centre informatiques .

Materiels

-Brosses , craies ,maillots avec le logo de l’organisation de  LA RELEVE .

-Retroprojecteurs

-Laptops

-Television

-Radios ( equipements )

-Energie electrique .

Tournoi de football/ programme culturel .

Compenser les moniteurs pour les jeunes .

Compenser le gardien des centres pour les jeunes .

 

Differents seminaires pratiques avec les ouvriers ( macon , Charpentier , etc )

 

C)   Affermage ou construction de bureaux de l’organisation de LA RELEVE dans les deux arrondissements de Jacmel et de Belle Anse .

 

b)    Santé

Idee 

c)     Alimentation

Idem

 

 

 

2)    Sports

-         Soins de sante

-         Formations des moniteurs (trices )

-         A court terme : 12 moniteurs ( trices ) en sport  par commune /departement du Sud ‘est .

-         Compenser ou payer les moniteurs(trices ) en sport .

-         Choisir  et payer 1es superviseurs par commune/ departement du sud ‘Est ( Jacmel )

                 Materiels de sports

A)  Football

-Ballon de football

-Filet

-Equipements

-Souliers de

 football ( Chaussures ).

-Cornes

-Sifflet ( etc ).

 

B)   Volley ball

-Materiels de football

            

              C)Tennis

                -Mareriels de tennis.

 

              D)Baskett Ball

 

              -Materiels de basketball

 

              E) Tae kwon do

              - Materiels de Tae kwon do .

 

              Visions/Perspectives pour les disciplines de sport .

            

              Tournoi de toutes sortes dans les differentes communes de     l’arrondissement de Jacmel et de Belle Anse .

 

Construire ou creation de l’ecole de Football dans chaque commune du departement du sud ‘est.

 

 

                       Resume / Idees de projet.

 

Projet en cours / Recherche de financement rapide .

 

1)    CLUB des enfants dans l’arrondissement de Belle Anse et de Jacmel

-Achat de materiels

 

-Paiement ou compensation des moniteurs (trices )

-Paiement de frais scolaires pour les enfants ( annee academique ) 2012- 2013 .

- Recherche de nourriture .

 

2)    Recherche de financement pour la clinique sove lavi Ansapit .

-paiement / affermage

-Employers

-Achat de materiels

-Achats de medicaments.

-Achat de terrain pour la construction d’un centre pour la clinique ( sove lavi Ansapit ).

 

3)    Ouverture de LA RELEVE  Ecole professionnelle /(Arrondissement de Belle Anse et de Jacmel), Thiotte .( CENTRE DE FORMATION INNOVATRICE D’HAITI )( CEFIH )

 

-Louage ou affermage d’un local .

-Construire un local pour loger le centre de formation

-Achat de materiels didactiques et d’informatiques pour le centre de formation.

-Paiement de professeurs .

-Recherche de financement pour supporter les paiements de frais scolaires .

-Nourriture pour les étudiants .

Recherche de fonds pour supporter les travaux pratiques et les stages des etudiants .

-                                  

Pour le conseil du departement du Sud ‘Est (.LA RELEVE)

 

Noms/Prenoms            Fonction            Telephone            Zone               

 

1)Zidor corvington     Coordonnateur      Arrond.Jacmel/Belle Anse        

2)Odeus Gracilia        Secretaire             Arrond. Belle Anse

3)Alexandre Wilmine  Resp.finance        Arrond.de Bainet

4)Louis Dieussica        Secretaire              Arrond. de Belle Anse

5)Laurent Edzer           Delegue                Arrond. de Jacmel

6)Cadet Ernst               Responsable des  Arrond. de Jacmel

                                     Affaires etrangeres

 

7 )                                                                 Arrond .Belle Anse

VIA LE CONSEIL  DE L’ARRONDISSEMENT DE JACMEL POUR LA RELEVE .

 

Noms/Prenoms                            Fonction                                     Telephone

 

1)Laurent Edzer                           Coordonnateur                        

   Coord.de LA RELEVE arrond.de Jacmel

 

2)Jean Arlain                                Secretaire                                   

    Pierre Louis Wikenson           Secretaire                                  

Coord.de LA RELEVE commune de la VALLEE DE Jacmel

 

3)Jean Erntso                               Secretaire                             

Coord. De LA RELEVE Commune de Jacmel

 

4)Médé Ilnéra                              Resp.de communication/inf.

    Maitre Fritzner                          Idem                                         

Coord. De LA RELEVE Commune de cayes Jacmel

 

5)Sylva Marie Edith                    Resp.de finance                        

Coord. De COPEAJ

 

6)Alix Norbert                              Conseiller

 

7) Charles Marie Clodette         Déléguée                                  

VIA LE CONSEIL DE L’ARRONDISSEMENT DE BELLE ANSE POUR LA RELEVE

 

Noms/Prenoms                Fonction                                Telephone

 

1)Louis Dieussica          Coordonnatrice                     

Coord.Arrond. de Belle Anse

 

2)Odéus Gracilia           Secrétaire      

Coord. COPEAB

 

3)Bon Rodrigue             Resp.de Finance                     

Coord.de la commune d’Anse ẚ Pitre

 

4)Louis jean Daniel      Délégué                                     

Coord.de la commune de Grand gosier

 

5)Jean Edouard           Conseiller                            

   Félix Exumé Ananie Conseillѐre  

Coord.de la commune de Thiotte     

 

6)Noel Olionor             Resp.de communication/information

   Stlouis Yollande        Resp.de communication/Information

Coordonnateurs de la commune de Belle Anse .

 

7)

 

 

VIA LE CONSEIL CENTRAL DE LA COORDINATION DE LA PROTECTION DES ENFANTS D’HAITI (COPEH )

 

 

Les noms retenus pour le comité exécutif central de la coordination de la protection des enfants d’Haiti . (COPEH )

 

1)Zidor Corvington        coord.gnl        dept.Sud’Est                  zidorcorvington@yahoo.fr

2)Etienne Marie Nadil    Coord.nationale dept.Grand’Anse

 

 etienad@yahoo.fr

3)Fontes Cony                 Coord.nat.adjoint dept Nord

 

 fontescony@yahoo.fr

4)Jean Lafontaine          secretaire generale dept l’ouest

 

5)Joseph Gerline           secretaire adjointe  deptsud/est/cotes de Fer, josephgerline@yahoo.fr

 

6)Valescot Nickson       resp.finance national dept/sud/Est ville de jacmel   ,             valesnick2000@yahoo.fr

 

7)Valbrun Guerly         Resp.finance nat.adjointe  dept/Nord Est   ,              guerly77@yahoo.fr

 

8)Volmyr H.Liliane       Conseillѐre nationale dept.Nord

                                          volmyrliliane@yahoo.fr

 

9)Joseph Edvard            délégué national 

                                           Edvardjoseph_@yahoo.fr
       
     
   akonpanye sak Bezwen èd yo
se ede Ayiti grandi e jwen'n yon pi bon tretman

Nan bonjan aksyon sosyal ak politik nap rive yon jou kanmèm.


Méssage pour vous jeunes Universitaire, écolier, Professionnel haïtien l’heur de la révolution est arrivé.
La conscience et la dignité vous frappe a la porte ouvre lui, et laissé lui vous parlez
Car : le destin de ce pays est entre nos mains, ne nous laisse pas manipulé par ses anciens pillagets et opportunistes. Défendons nous notre avenir

Comment stimuler l’économie productive ?

L’Etat, la dignité... et la colèreRassemblés en janvier 2010 à l’université de Nottingham, une centaine de chercheurs ont tenté d’éclaircir la signification politique de la « vague rose », cette série de victoires électorales de la gauche (ou du centre-gauche) dans la plupart des pays latino-américains, entre 1998 et 2006 . Ce phénomène — nouveau — d’accès « massif » au pouvoir a conduit la plupart des intervenants à rouvrir un vieux débat, à l’aune de l’expérience politique d’une région où son intérêt ne se borne plus à la théorie : faut-il s’emparer de l’Etat pour changer le monde ?

Le premier constat, c’est que la droite, elle, ne s’en prive jamais. « Dans les années 1980, observe William Robinson, professeur à l’université de Santa Barbara (Californie), une fraction des classes dominantes évince l’élite traditionnelle et s’empare du pouvoir d’Etat pour faciliter le processus de mondialisation libérale... dont elle tire le plus grand profit. » Ainsi, la montée en puissance des néolibéraux a au moins un mérite : elle démontre qu’en « s’emparant du pouvoir d’Etat » il est possible de « remettre en cause le statu quo ». Encore faut-il véritablement le souhaiter.

Pour Juan Grigera et Luciana Zorzoli, deux chercheurs argentins, ce n’est pas vraiment ce qui caractérise la présidence de M. Néstor Kirchner en Argentine (2003-2007) : « Son rôle fut de restaurer la gouvernabilité du pays », tout en s’assurant qu’« on ne toucherait pas au modèle économique ». Pis, observe Sara Motta, de l’université de Nottingham, à propos cette fois du Brésil, de l’Uruguay et du Chili, « le renforcement de la démocratie s’accompagne dans ces pays de mesures sociales d’assistanat qui mènent à une “naturalisation” de la pauvreté », selon l’idée que les inégalités feraient partie de l’« ordre des choses » et qu’il faudrait finalement constater l’impossibilité de les éradiquer...

En pleine crise du modèle néolibéral, souligne Motta, on perçoit aisément l’intérêt, pour les classes dominantes, de voir arriver au pouvoir des gouvernements qui, « supposément issus des classes populaires, affaiblissent la (...)



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Archives
2010
Seule l’éducation résiste
par Tom Amadou Seck. — mai 2010
L’Etat, la dignité... et la colère
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Et la pauvreté s’invite dans le débat britannique
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L’Enigme du retour
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Haïti, la tectonique de la misère
par Christophe Wargny. — février 2010
Vers la disparition des peuples papous en Indonésie ?
par Philippe Pataud Célérier. — février 2010
Le tabou des excréments, péril sanitaire et écologique
par Maggie Black. — janvier 2010

Haïti 1983. Photo F.& F. Biaggi.
Reconstitution d’une communication présentée sur notes
à l’«Interamerican Dialogue» du mercredi 20 avril 2005 à Washington D.C.

I.- Un rappel introductif d'éclairage du contexte thématique
Depuis un demi-siècle, ce pays d'Haïti connaît un des plus grands changements sociaux de son histoire: la massification qui a lancé l'initiative des masses vers l'irruption directe dans la politique et la vie sociale consciente. Ce recentrage des acteurs politiques et sociaux est reflété dans les nouveaux noms de famille émergeant dans la notoriété et dans le registre de la notabilité. Le poète Jean Brierre, revenant d'un long séjour en terre africaine, s'écriait : Je ne connais pas ces gens-là d'aujourd'hui et ils ne me connaissent pas.

Il est courant d'entendre dire à des visiteurs haïtiens de l'élite traditionnelle en revenant au pays pour un bref séjour: je ne reconnais pas ma ville. C'est que son contenu social a changé. Quel va être le comportement politique de ce nouveau pays et surtout son comportement électoral au bout d'un processus qui a vu l'échec de deux populismes successifs: le populisme fascistoïde de François Duvalier et l'anarcho-populisme d'Aristide, et en refus actuel d'un troisième populisme dont le spectre n'est pas encore définitivement écarté? Qui seront les dirigeants politiques de demain et qui doit avoir peur du suffrage universel?

Mais le pays traverse depuis un siècle la plus grave et plus longue crise de son histoire nationale: la crise structurelle de la société traditionnelle Haïtienne en voie de dépérissement: «the passing of a traditional society». Mais le traditionalisme, tout en mourant, est encore assez vivace pour continuer à occuper les avenues et bloquer l'avènement de la société moderne. Celle-ci, cependant, frappe à la porte avec pugnacité et à défaut de pouvoir entrer, elle se répand en enclaves de modernité dans la réalité du pays. La crise, nous dit Gramsci, c'est quand l'ancien résiste encore efficacement alors que le neuf veut l' emporter. C'est l'Haïti de la vraie et profonde transition, ce que j'ai appelé un «hiatus inter-systémique». Quel levier fera basculer définitivement le système vers l'abîme de l'échec d'un traditionalisme en décomposition à la suite de la descente actuelle aux enfers ou décisivement la poussée novatrice de la modernité émergente?

L'évolution conjoncturelle place au premier plan de l'actualité les «trois D»: le désarmement, les décaissements et le dialogue national. Deux de ces trois urgences dépendent en priorité de l'étranger interventionniste et le troisième risque d'entrer en conflit avec les élections programmées, ce qui crée une contrariété tendancielle des agendas.

Au fond, la pauvreté Haïtienne, est-elle à la phase terminale du cancer? Depuis quand donc Haïti est irrémédiablement pauvre à l'agonie? Il ne faut pas s'empresser de répondre: depuis toujours car on peut avoir des surprises. Mon amie canadienne économiste sociale Kari Levitt m'assurait, analyse comparée en mains, qu'il fallait ré-évaluer en hausse le PNB par tête d'Haïti par rapport à la Jamaïque par exemple, cependant de toute évidence nettement plus évoluée économiquement De toute façon, c'est un pays en détresse mais en attente. Le dernier mot n'est pas dit.

II.- Variations sur la problématique générale et évolutive de la pauvreté haïtienne
Le mot de pauvreté est aussi vieux que le monde, mais sa réalité a été perçue différemment, selon l'époque, les cultures et civilisations, l'impact des conditions climatiques et les variations dans le rythme de l'évolution démographique comme pression sur les ressources disponibles. C'est un truisme de dire que toutes ces variables ont joué dans le cas Haïtien qui nous occupe aujourd'hui comme ailleurs, avec une intensité changeante au gré des circonstances. Mais le jeu de ces variables a été inventorié et on sait sur lesquels on peut jouer pour agir conséquemment, je veux dire en connaissance de cause. Il y a une stratégie opérationnelle dans la lutte contre la pauvreté, au moins pour la réduire en fonction des moyens disponibles appropriés.

La pauvreté a même été un idéal de vie ou même une condition pour la sainteté, et en tout cas, elle a été considérée comme naturelle pendant longtemps. Il y a pauvreté quand les besoins primaires d'une population ne sont pas satisfaits, et cela commence par le manque collectif de nourriture pour atténuer sa faim, premier signe de la pauvreté structurelle, suivi des carences graves de la santé ou maladies et de la privation d'éducation ou ignorance, en tête de liste des besoins sociaux de l'individu. Cette insatisfaction des besoins sociaux de l'individu va se répercuter sur les problème de structure sociale pour étager les strates, couches, catégories et classes que recouvre le champ de la pauvreté, dans la problématique «classes laborieuses, classes dangereuses» du baromètre de la contestation exprimée dans la «question sociale».

Le cas Haïtien montre la relation entre la pauvreté subjective, relative et même acceptée pendant longtemps, et la pauvreté objective, concrète et absolue qui frise le seuil de l'inacceptable vu les inégalités sociales intenables. La pauvreté massive est atteinte quand «le coût de l'homme» pour employer un mot de François Perroux n'est pas du tout assuré pour la grande majorité de la population, comme c'est la réalité de l'Haïti contemporaine.

On comprendra que mes propos présents d'ouverture du débat sur le dossier de la réduction de la pauvreté Haïtienne prennent en considération que deux des panélistes sont membres respectivement de la Banque Mondiale et de la Banque Interaméricaine de Développement et donc en charge des aspects techniques et quantitatifs du sujet. Ceci m'amène à mettre l'accent sur la dimension humaine générale et historique du problème et sur les variations dans la poursuite du combat pour la réduction ou l'éradication de la pauvreté dans une stratégie de confrontation à venir avec la pauvreté structurelle en Haïti, à commencer par sa dimension politique – le primat du politique – quand enfin dans notre pays on acceptera de «faire la politique autrement ».

III.- Variations sur le thème de la pauvreté dans la problématique de l'évolution socio-économique Haïtienne On peut dire de la pauvreté que, comme la nostalgie, elle n'est plus ce qu'elle était
La pauvreté en Haïti a une consonance particulière qui lui vient de l'histoire. Le mot, en effet, est associé au binôme café et vivres qui a réglé l'économie haïtienne jusqu'aux temps récents, le café comme la base majeure d'exportation soutenant l'économie entière, et les vivres comme l'élément local de base de la production et de la consommation pour l'économie nationale. Le café est connu pour avoir assuré l'opulence d'une riche minorité de spéculateurs et d'exportateurs de l'élite urbaine, mais aussi pour avoir pourvu les ressources globales minimales pour garantir la provision monétaire dans les jeux des échanges. Les vivres ont assuré le matelas de sécurité pour une majorité paysanne souvent aisée dans le champ de la production et assurant un excédent «commercialisé» du labeur paysan. Cette aisance vivrière a pris son origine dans la destruction du système de la plantation pendant la révolution Haïtienne créatrice, par le morcellement, d'une structure agraire finalement dominée par la moyenne et la petite propriété.

Une authentique paysannerie a émergé dans une abondance vivrière pour beaucoup sinon pour tous, au point de devenir légendaire sous le qualitatif de «bonheur vivrier» ponctuée en outre par les retours annuels réguliers et providentiels de la saison des mangues. Bien sûr cette description ne manquait pas d'être idyllique, mais le fait indéniable est que tout cela mettait une sourdine sinon même un masque sur la pauvreté persistante de l'économie Haïtienne. Pour sûr, les statistiques d'une pauvreté rampante avaient beau être déjà là, mais pour exprimer la qualité de la vie, le genre de vie n'avait pas besoin de statistiques pour confirmer ou dissiper les perceptions. Ecoutons nos dictons d'hier dans leur insouciance des chiffres: là où il y en a pour 7, il y en a pour 10, et plaie d'argent n'est pas mortelle ou une progéniture nombreuse est une bénédiction.

Il y avait une distance sinon même un fossé entre les preuves statistiques montrant la pauvreté chez nous, et les modèles de comportement d'accommodement avec elle pour la nier ou la masquer, une question de «décorum» polyclassiste. Ainsi, la pauvreté rampante a pu n'être pas un problème, à cette ère pré-statisque ou extra-statistique quand elle ne s'exprimait pas en souci collectif pour une politique publique contre une pauvreté qui n'était pas encore perçue comme massive. Chacun en connaissait des cas ou des lieux, mais la pudeur dite «petite-bourgeoise» (?) les faisait taire. Et puis, qui voulait tendre son bol ou son «coui» de mendiant professionnel? La parenté (ou la proximité qui en tenait compte car voisinage cé fanmi) était le recours – économie familiale - ou alors les poches de pauvreté stricte ou excessive étaient laissées à la diligence généreuse des institutions religieuses de charité comme depuis le Moyen-âge européen.

Mais les temps d'Haïti chérie sont révolus comme soudainement. Et avec l'ère post-caféière, compagne d'un déficit croissant concomitant de vivres, la pauvreté persistante devient une réalité manifeste et aveuglante, et donc désormais perçue comme telle, et cette reconnaissance de la pauvreté massive Haïtienne est irréductible à l'effet de ponction démographique que constitue l'émigration devenue massive elle aussi.

L'explosion démographique – de 500'000 habitants en 1804 à plus de 8 millions d'âmes en 2004 – et la micro-propriété devenue dominante – de 25-30 carreaux de moyenne d'exploitation familiale en 1816 à un demi carreau en 1996 - ont eu l'effet combiné et cumulatif de détruire la relation «équilibre et population» C'est alors, c'est-à-dire maintenant, que la pauvreté devient statistique en Haïti, par exemple l'espérance de vie 49, 4 en 2002 (contre 81,5 au Japon et 80 ans en Suède) ou le taux d'alphabétisation des adultes 51,9 (contre 99.7 en Barbade et 98,5 à Trinidad).

IV.- Les recettes d'une prescription éprouvée mais à rénover: une trinité stratégiquement concordante, nouvel impératif de la conjoncture
Quoi faire pour éradiquer la pauvreté ou la réduire à un seuil supportable dans la société globale en accélérant le rythme du progrès social?

Je ne suis pas ici pour contester ni sous-estimer la fécondité des méthodes et techniques les plus aptes à propulser le progrès social dans la bibliographie de la thérapie sociale corrective de la pauvreté, en y incluant les tâches modestes mais importantes des «social workers» (travailleurs sociaux) pour améliorer l'environnement de proximité en vue de réduire la pauvreté localement, sur le terrain. J'y pense au contraire dans le cas préoccupant de la délinquance urbaine juvénile Haïtienne pour laquelle la justice répressive, qui ne doit pas perdre ses droits, peut trouver cependant des tempéraments guérisseurs dans le traitement des drames sociaux de la pauvreté qui sont associés à l'existence de cette délinquance juvénile sinon même à son origine.

Je m'efforce de rester au courant du fait que la sous-traitance, les «joint ventures», les zones franches et le micro-crédit, par exemple, sont à l'agenda du secteur privé Haïtien et des investisseurs étrangers pour y rester, en vue de générer la croissance et l'expansion économiques pourvoyeuses de «jobs» et de dividendes sociaux ou retombées sociales.

Je me réjouis que de nouveaux produits ont pris ou peuvent prendre la relève du café pour le marché des exportations comme les mangues, le ricin, la papaye et le retour des huiles essentielles, et que des favorites de la diaspora peuvent être dynamiquement propulsées localement comme le rhum Barbancourt, les champignons noirs («djon-djon») et le lambi pour la consommation extérieure des Haïtiens de l'étranger à des fins sociales par la voie indirecte de l'enrichissement économique engendrant une meilleure circulation et distribution de la richesse.

Mais si je suis à cette table de conférence, c'est pour braquer le projecteur et les feux de la rampe en vue de démontrer la centralité d'une thèse déjà ancienne et mienne, à savoir que pour réduire ou essayer d'éradiquer la pauvreté en Haïti, vu ce qu'est devenu le contexte Haïtien actuel, signifie une stratégie politique consistant à réaliser graduellement mais simultanément les trois modernisations: la modernisation politique (que nous appelons aujourd'hui la démocratisation, incluant les élections libres, le pluralisme politique et la promotion des droits humains), la modernisation économique (que nous appelons aujourd'hui la croissance auto-soutenue et le développement durable) et la modernisation socioculturelle (que nous appelons aujourd'hui le développement humain poursuivi dans l'épanouissement individuel par la justice sociale et l'équité vers un objectif de chances égales pour tous).

Le fait est qu'avec la véritable transition à venir après les élections attendues en 2005, nous serons obligés d'effectuer le triple décollage des trois processus en même temps, pour avoir raté les opportunités de la seconde moitié du 19ème siècle et du premier quart du 20ème comme pays indépendant parmi d'autres tels le Japon de l'ère Meiji (grand changement) pour le modèle duquel l'élite para-féodale Haïtienne d'alors se passionnait, ou la Chine nationaliste de Sun Yat Sen dont la révolution suscitait une vie curiosité alimentée par les correspondants locaux dépêchés sur place, ou la métamorphose de la Turquie de Mustapha Kemal Ataturk dont on sait qu'elle hantait l'esprit du jeune François Duvalier et l'Ecole historico-culturelle «Les Griots». Ayant raté le train, Haïti fit alors son entrée en sous-développement.

Les trois modernisations se doivent désormais être une performance concomitante alors qu'ailleurs, elles se sont échelonnées en trois phases : la première, généralement économique, puis la seconde politique et finalement la troisième socioculturelle, parce que changer les mentalités est plus difficile à réaliser que diviser un atome. Les transferts opérés par la diaspora vers Haïti et les anticipations d'investissement à venir de celle-là ne sont pas encore des substituts pour l'impulsion qui doit venir de l'intérieur, cette impulsion endogène qui culminera en progrès social. De là la nécessité de la stratégie trilogique concordante pour gérer cette impulsion.

Ces trois modernisations nécessaires à mener à bien simultanément ont au moins deux conséquences opérationnelles: le gradualisme dans la stratégie frontale pour combattre la pauvreté, mais aussi un dosage évolutif entre les trois Un cours graduel par étapes est, en effet, indispensable dans la poursuite des trois modernisations simultanément conduites. Mais aussi un dosage évolutif doit être de pratique appropriée, pour justifier pourquoi, quand et comment. Tout est dans le dosage. On trouvera logique d'inaugurer la modernisation économique par une dose relativement plus forte au départ, tandis que progressivement on aura à renforcer le volet de la modernisation sociale quand une telle accélération deviendra possible parallèlement à la normalisation et à la stabilisation du processus électoral grâce à l'état de droit. De là l'importance clef d'élections acceptables pour être acceptées.

Précisément pour lier le problème de la pauvreté avec l'actualité politique de la compétition électorale déjà entamée, trois questions ont été aditionnellement posées dans ce panel consacré à la pauvreté. Il est difficile et hasardeux de répondre à la première: comment les élections à venir seraient-elles impactantes sur la réduction de la pauvreté? Les débours de l'organisation des élections et de la campagne électorale sont une manne vite distribuée au niveau de la base en portions infinitésimales – le traditionnel clairin rural sera encore de la partie -, donc d'un impact quasi-nul sur les efforts de réduction de la pauvreté.

L'effet des élections peut cependant être de créer un climat de nouveau commencement comme pour en finir enfin avec la transition donc le provisoire, et ouvrir la voie à la stabilisation d'un nouveau cours des affaires, J'appellerais cela un effet d'anticipation sur les expectations d'un mieux être social. Enfin sur le plan international, la volonté politique que les élections soient faites comme la détermination affichée que cette volonté soit faite, laisse augurer une préparation d'un tournant positif de la coopération internationale.

Notons que, dans un article paru dans «Vision», périodique publié par le CSIS de Washington, j'ordonnançais le processus de démocratisation lui-même en trois étapes correspondant au rythme des deux autres modernisations, en plaçant la candidature d'Haïti au décollage pour les débuts renouvelés du processus de la démocratisation en 1986, en un essai à transformer, comme on dit en rugby. Ceci devait correspondre à l'inauguration chez nous de la «révolution démocratique» dans ce triplet stratégique pour le développement humain précédant de près, selon notre programme de gouvernement en 1988, le «package» de politique publique pour pousser en avant le processus de l'équité sociale avec le rôle de l'Etat, du secteur privé et du monde des travailleurs comme trois partenaires.

On y voyait l'embryon de la réalisation du rêve de «l'économie sociale de marché» chère aux démocrates-chrétiens et aux socio-chrétiens, fondée sur le système de la libre entreprise, mais avec une stratégie intelligente pour réduire la pauvreté, non seulement en augmentant le gâteau en vue de sa répartition, mais mieux en envisageant les modalités d'une distribution équitable des portions au moment même d'en concevoir la production, ce qui affectera cette production elle-même dans ses modalités et dans sa finalité.

Produire est un impératif exigeant qui demande beaucoup de travail (hard work). Du modèle de l'ère Meiji du Japon d'hier à celui de Taiwan de la Chine d'aujourd'hui, le trait commun est ce «hard work» dans la réalisation des trois modernisations, de l'une à l'autre et d'un stage à l'autre, en termes de gradualisme et de dosage L'essentiel, de toute manière, est qu'il faut une synchronisation entre les trois modernisations simultanément conduites: une véritable «symphonie concertante».




 
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